Good field practices will avoid disturbing the soil to be observed
Our instructions describe suitable techniques for instrumentation, installation and removal of sensors, adapted frequency of measure, etc…
4 technical levels can be achieved :
– simple observation
– decision help
– irrigation management
– smart irrigation
Performance is obtained with respect of soil, equipement and tensiometry.
Things stay clear as long as there is no confusion beetween technical levels. For example, not possible to pretend monitor irrigation out of a casual observation, without repetitions (see below).
A minimum of 3 repetitions
Having a minimum of 3 repetitions is the only possible answer to the heterogeneity of water in cultivated irrigated soils. The rule of taking the median of 3 values for each depth has been documented for over 30 years. The heterogeneity of soil humidity increases on dessication phase, means when the irrigation decision need to be taken. Distribution of irrigation water further increases the heterogeneity.
Technical levels of “help decision” and “monitor irrigation” need consistant decisions, respecting those rules.
The investment is roughly around 500 € per field for manual readings, 800 € for registering, around 1200 € for transmission. Those costs are very reasonable, compared with economical challenges.
Decision making measures need good strategy, good pratices with correct equipment, rather than improvisation.
Fréquence des mesures tensiométriques
La tension de l’eau dans le sol évolue classiquement de quelques cb / jour.
Une fois l’outil d’aide à la décision mis en main, la visualisation, le conseil et la décision se font sur une fréquence hebdomadaire, parfois bi-hebdomadaire. Ceci permet une bonne maîtrise, sans devenir fastidieux.
L’intervalle adéquat entre 2 mesures est de 4 à 6 h, sauf cas très particulier.
La fréquence d’envoi nécessaire des 4 à 6 lignes de données peut être journalière, voire bi-journalière en sol léger.
Ces intervalles sont adaptés à la tensiométrie.
Fréquences anormales
Certaines centrales multi-capteurs n’ont pas été adaptées aux mesures dans le sol. Par exemple, une mesure toutes les 15 minutes génère 8640 mesures sur 3 mois, l’équivalent de plus de 5 ans de mesures. On fatigue inutilement les capteurs en seulement 1 an d’utilisation.
Le calage de certaines solutions, sur une fréquence de mesure inutilement élevée, n’est pas une bonne idée.
Test des sondes
Le fonctionnement et la durée de vie des sondes est documentée : sondes WATERMARK
Certaines méthodes préconisent un test chaque saison. Pourquoi pas, mais à condition de respecter la procédure de test.
Notamment tremper les sondes pendant 2 minutes dans seulement 6 cm d’eau. Ne pas les submerger, ne pas laisser entrer de l’eau par le trou en bas de tube. Sous peine de faire entrer de l’eau par la mise à l’air de la sonde, ce qui peut fausser le test en question.
Le contact sol / sonde est essentiel
Le tubage de sondes
Le tubage PVC à deux diamètres 25/22 mm correspond à la tarière spirale 25/22 mm.
Ceci permet de descendre les sondes dans le sol sans abîmer leur “peau”.
Tout en assurant un contact parfait avec le sol non perturbé.
L'installation
Le pré-trou doit être fait avec la tarière spirale, par des aller-retours successifs de 15 cm maximum, afin de ne pas comprimer le sol.
À proscrire : des outils hors côte, des pré-trous plus gros, de la boue créant une “poterie” autour de la sonde, qui ralentit les échanges avec le sol réel. On voit cette mauvaise idée sur certaines vidéos. Perturber ou modifier le sol qu’on veut observer, est totalement à proscrire.
Peut-on se passer de câble sur les sondes WATERMARK ?
Avec le recul sur l’usage des Monitor R2-DX (câblés) et R2-XD (non câblés) il ressort :
- En culture annuelle sous aspersion ou goutte-à-goutte à faible écartement, les 2 solutions peuvent être équivalentes, à conditions de pouvoir ajuster la hauteur au dessus du sol et respecter le nombre minimum des 3 répétitions x 2 positions, au moins…
- En irrigation à la raie, idem. La garde au sol est essentielle.
- En culture pérenne sous goutte-à-goutte, la solution câblée est supérieure pour ajuster le bon positionnement des sondes autour du bulbe. Également pour mettre l’électronique à l’abri du désherbage mécanique, de plus en plus utilisé.
- Câblage indispensable également en échographie du bulbe.